Comme vous avez pu le constater, nous vous avons concocté une édition spéciale de votre journal municipal à l’occasion du 200e numéro. Un numéro qui coïncide également avec les 10 ans de l’élection de Thierry Meignen. Plus que les mots, les images parlent d’elles-mêmes. Nous vous laissons ainsi à travers cette édition spéciale constater l’étendue de l’action menée par l’équipe municipale qui a permis de faire évoluer considérablement et positivement Le Blanc-Mesnil.
En France et dans le monde, les inégalités entre les femmes et les hommes restent toujours très marquées malgré des avancées ces dernières décennies, le chemin reste long pour atteindre une réelle égalité. Au Blanc-Mesnil, nous constatons toujours aussi peu d’engagement venant de la municipalité en ce qui concerne les droits de femmes et la lutte contre toutes les formes de violences. Pire encore, l’année dernière le Maire a pris la décision de fermer la Maison de la justice et du droit qui assurait une présence judiciaire de proximité et une aide essentielle pour les victimes de violences. Nous rappelons également que dans le même temps la ville avait pris la décision de suspendre l’organisation d’une table ronde autour des violences au sein du couple ainsi qu’une action de sensibilisation contre le harcèlement scolaire. Nous avons lu les déclarations du Sénateur Meignen concernant son vote positif sur l’inscription de l’avortement dans la constitution. Dis Thierry, être du bon côté de l’histoire c’est avant tout agir ici concrètement pour faire avancer les droits des femmes. Pour cela, il aurait fallu commencer par voter en faveur de la mise en place de la création d’un congé menstruel au Sénat. Encore une occasion manquée. Si la Municipalité veut être du bon côté de l’histoire, elle ferait mieux de rétablir des dispositifs d’aide et d’écoute pour les femmes victimes de violences. Il est grand temps d’arrêter de faire la sourde oreille ! Contact : bmavenir@gmail.com
Conformément à la loi, les propos tenus dans cette tribune, où s’expriment les groupes représentés au conseil municipal, n’engagent que leurs auteurs. Pour une lecture facilitée et par respect d’une stricte égalité, chaque tribune est limitée à 1 500 signes.