Christine Cerrigone
Majorité municipale
Au nom de la majorité municipale
Le 27 mars dernier, nous inaugurions les panneaux d’entrée de ville
matérialisant notre nouveau label : « Ville amie des animaux ». Cette
récompense vient saluer nos engagements pour le bien-être animal :
créations de nichoirs, d’hôtels à insectes, d’un caniparc, stérilisation des
chats errants, lutte contre la maltraitance animale et les élevages clandestins,
ateliers pédagogiques dans les écoles…
Toutes ces actions nous ont permis d’obtenir, pour la première fois, « une
patte » à ce label régional, qui n’a récompensé pour l’édition 2022 que 58
nouvelles communes sur les 1 276 que compte l’Île-de-France.
En 2023, nous poursuivons la mobilisation. Prochainement, une carte
« urgence animale » sera distribuée aux Blanc-Mesnilois : elle permettra
à tous les propriétaires d’animaux d’indiquer les coordonnées d’une
personne à contacter en cas d’accident, d’hospitalisation… pour éviter
qu’en pareilles circonstances, l’animal ne se retrouve livré à lui-même au
domicile, ne soit placé en fourrière, voire ne soit abandonné.
Nos agents se mettent également en quatre pour organiser un salon
de l’animal, qui regroupera professionnels de l’éducation canine non
violente, avocats spécialisés en droit des animaux, associations…
Enfin, nos services travaillent à la mise en place d’un réseau bénévole et
estival de dog et de cat-sitters pour éviter les abandons plus nombreux
l’été, et à la création d’un « guide de l’animal en ville » pour sensibiliser
tous les habitants à la condition de nos amies les bêtes.
En route, peut-être, vers une « deuxième patte » ?
Didier Mignot
« Blanc-Mesnil à venir »
Président du groupe Blanc-Mesnil à venir
LA BARRE DE MONTS À L’ABANDON.
Des témoignages, avec photos, décrivent le centre de vacances en
état d’abandon et ouvert à tous vents. Nous sommes bien loin des
promesses de M. Meignen qui disait « ne pas vouloir vendre les centres
de vacances mais les rénover ». On voit le résultat ! Tout cela, comme
d’habitude, sans aucune concertation !
Après la vente du centre de Saint Martin la Méanne et l’abandon total
du centre de La Condamine-Châtelard, le tour est venu de fermer la
« colo » historique de notre ville, située au coeur de la forêt vendéenne
avec accès direct à l’océan. Des dizaines de milliers d’enfants y ont passé
d’inoubliables vacances. Plusieurs générations de blanc-mesnilois-es, de
toutes conditions, ont ainsi pu profiter du droit aux vacances et de classes
de découverte.
Alors que la crise sociale frappe de plein fouet des milliers de familles de
notre ville, les « colos » sont des opportunités inégalées pour permettre
aux enfants et adolescents de prendre des vacances éducatives avec
de multiples activités à des tarifs abordables. Certes aujourd’hui, les
enfants, selon des critères de sélection inconnus, continuent de partir en
séjour mais beaucoup moins nombreux que les centaines d’enfants qui
bénéficiaient chaque année des 4 centres que possédait notre ville et dont
le développement était possible.
La municipalité doit s’expliquer sur ce qu’elle compte faire de ce
patrimoine des blanc-mesnilois et dont la « remise en état naturel » va
coûter 1,4 million d’€ !
bmavenir@gmail.com
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