Ce comportement irresponsable n’est pas sans dangers : risque de blessures par jet d’eau, pression insuffisante pour combattre les feux, encombrements des lignes des pompiers pour signaler ces faits au détriment d’appels plus prioritaires…
« L’article 322-3 du Code pénal prévoit une peine de cinq ans de prison et jusqu’à 75 000 euros d’amende pour l’ouverture illégale des points d’eau incendie, rappelle Joël Beyssac, directeur de la Sécurité. De plus, tout prélèvement sauvage d’eau est considéré comme un vol d’énergie et passible de trois ans de prison et de 45 000 euros d’amende. »